Récemment, la sphère du transhumanisme sur la toile a encore vibré. L'écrivain de science-fiction Charles Stross a ouvertement critique l'idée d'une singularité technologique, dans un article largement commenté - ce qui m'a rappelé une sortie similaire de Gilbert Hottois dans un colloque à l'Université Libre de Bruxelles il y a quelques semaines.
Dans un billet tout frais, le bloggeur George Dvorsky que j'aime beaucoup suivre répond aux critiques de Charles Stross. Ses idées, de manière condensée, c'est de dire qu'il n'y a pas un seul type de singularité à-la-Kurzweil et qu'il est évident qu'un certain type de singularité adviendra. Pour Dvorsky, la singularité signifie l'avènement de machines superintelligentes. Il précise que ces machines, pour être superintelligentes, n'ont pas nécessairement besoin d'une conscience ou de se comporter à la manière des êtres humains. Ce pourrait être de simples systèmes experts qui auront accès à des ressources infinies (Internet...) ; et ça c'est déjà arrivé !
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